Je reviens d'une brève escapade en Europe qui ressemble cruellement à celle de l'an passé, la semaine à Malte exceptée -présence de bébé oblige, le voyage était plus destiné à revoir du monde et leur présenter mon trésor qu'à vraiment visiter des endroits que je connais assez bien.
Cependant, à Lyon, mon amie ayant sa garderie à domicile, je lui ai laissé mon bébé -en compagnie également de 3 charmantes demoiselles de moins de 3 ans- afin de faire une petite virée seule en ville.
J'ai débuté par un lunch à La Poule au Pot, une adresse que je n'avais pas pu tester l'an passé car je voulais y essayer leur brunch. Or il était impossible d'y aller la bouche en cœur et espérer une table -- réservation obligatoire, le brunch n'ayant lieu que le dimanche !
J'ai eu l'heureuse surprise de le retrouver assez facilement; je n'avais pas vérifié l'adresse avant de partir, me fiant à mon souvenir : une rue orientée est-ouest, un peu au sud de la Place des Terreaux... Pas de problème pour avoir une table cette fois-ci -on était en semaine.
J'ai opté pour le pavé de colin; celui-ci arrive sur un lit de riz et d'épinards, parsemé d'éclats de noisettes et accompagné de tomates confites. Une délicieuse combinaison, une ration consistante et une cuisson satisfaisante du poisson ont fait de ce plat un vrai plaisir. J'ai craqué pour un dessert, un fondant au chocolat, accompagné d'un café latte -servi sur une La Marzocco !
Le café était cependant sans arômes particuliers, développant principalement une amertume marquée; cependant, la mousse onctueuse donnait une belle douceur au café et excusait un peu l'utilisation probable de café moulu il y a trop longtemps (à moins que l'espresso était sur-extrait?)
Je suis ensuite passée à la boutique Pralus, un chocolatier que j'aime beaucoup et qui m'a notamment séduite par sa "pyramide des tropiques" dont j'ai déjà parlé précédemment. J'ai pu découvrir d'autres produits sur place, comme son infusion d'écales de fèves de cacao.
J'ai également goûté à la Praluline, célèbre brioche inventée par le père, Auguste Pralus, qui a d'ailleurs reçu le titre de meilleur ouvrier de France en 1955. Les pralines qui sont incorporées à la brioche sont faites à partir d'amandes de la région de Valencia et de noisettes du Piémont rosies et concassées. Un régal à toute heure...
J'ai acheté aussi tout un tas de trucs et je suis sortie avec une facture un peu salée. Mais quel plaisir plus tard en essayant les produits que j'avais achetés !! Ainsi, la crème de noisettes est délicieuse; le cacao s'y fait discret, laissant vraiment la place au goût des noisettes torréfiées. Présentée en tube, on a envie d'en mettre une giclée partout : sur une tartine, un yaourt, une crème glacée, sur le bout du doigt...
J'ai évidemment acheté des pyramides, grand format pour moi et plusieurs petits pour offrir, ainsi que des tablettes de différents crus de cacao. Mais surtout, 2 barres infernales, qui méritent bien leur nom. Praliné noisette ou pistache, ces barres, noire ou au lait, cachent une pâte onctueuse, veloutée, voluptueuse... Une création complètement enthousiasmante que j'aurais dû goûter sur place : j'en aurais alors ramené plusieurs !!
J'ai aussi traîné un peu dans le Vieux-Lyon. Le plan offert par l'office de tourisme indique les emplacement des traboules, un élément typiquement du coin : un passage à travers des immeubles, permettant de déboucher sur une autre rue. La plupart mènent à la rue parallèle mais certaines sont à angle droit. Elles comportent également parfois une cour; on fait un vrai retour dans le temps en les explorant.
Pour finir, un retour à vélo sur les bords du Rhône. Je vous laisse avec d'autres vues de la ville... j'ai encore plein d'adresses à explorer lors d'une prochaine visite !
Le café était cependant sans arômes particuliers, développant principalement une amertume marquée; cependant, la mousse onctueuse donnait une belle douceur au café et excusait un peu l'utilisation probable de café moulu il y a trop longtemps (à moins que l'espresso était sur-extrait?)
Je suis ensuite passée à la boutique Pralus, un chocolatier que j'aime beaucoup et qui m'a notamment séduite par sa "pyramide des tropiques" dont j'ai déjà parlé précédemment. J'ai pu découvrir d'autres produits sur place, comme son infusion d'écales de fèves de cacao.
J'ai également goûté à la Praluline, célèbre brioche inventée par le père, Auguste Pralus, qui a d'ailleurs reçu le titre de meilleur ouvrier de France en 1955. Les pralines qui sont incorporées à la brioche sont faites à partir d'amandes de la région de Valencia et de noisettes du Piémont rosies et concassées. Un régal à toute heure...
J'ai acheté aussi tout un tas de trucs et je suis sortie avec une facture un peu salée. Mais quel plaisir plus tard en essayant les produits que j'avais achetés !! Ainsi, la crème de noisettes est délicieuse; le cacao s'y fait discret, laissant vraiment la place au goût des noisettes torréfiées. Présentée en tube, on a envie d'en mettre une giclée partout : sur une tartine, un yaourt, une crème glacée, sur le bout du doigt...
J'ai aussi traîné un peu dans le Vieux-Lyon. Le plan offert par l'office de tourisme indique les emplacement des traboules, un élément typiquement du coin : un passage à travers des immeubles, permettant de déboucher sur une autre rue. La plupart mènent à la rue parallèle mais certaines sont à angle droit. Elles comportent également parfois une cour; on fait un vrai retour dans le temps en les explorant.
Pour finir, un retour à vélo sur les bords du Rhône. Je vous laisse avec d'autres vues de la ville... j'ai encore plein d'adresses à explorer lors d'une prochaine visite !
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